Après les déclarations d'Emmanuel Macron appelant en terme de langue à "ne pas céder aux sirènes de l'air du temps", et après que le Sénat ait voté un projet de loi interdisant l'usage de la l'écriture inclusive dans les documents officiels, on a posé la question à Florence Rouch, Présidente du SMECTOM du Plantaurel et utilisatrice de puis longtemps de l'écriture inclusive (à tel point qu'elle l'a imposé dans la communication du syndicat mixte), ce que veulent dire ces deux coups de boutoirs.
Au passage elle nous explique ce qu'est l'écriture inclusive qui ne se résume pas au fameux point médian (ariégeois.e.s) mais qui est surtout un mode de pensée qui amène à s'exprimer en incluant tout le monde, et à ne pas considérer, contrairement au Président que "le masculin amène le neutre"
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